
" Yoga ? je peux pas, j’ai Golf !”
Vous la connaissez cette petite rengaine du golfeur (ou de la golfeuse) :
- « Et pourtant au practice c’était tellement fluide ».
C’est seulement le trou numéro deux et soudain rien ne va plus !
Combien de joueurs voit-on se métamorphoser tout au long du parcours (ça peut être long 18 trous !) en Sherlock Holmes :
- Mais qu’est-ce que j’ai fait (ou pas fait) ?
- Ya du vent !
- Quelqu’un a toussé (ou parlé) juste quand j’étais à l’adresse (regard courroucé à l’appui…).
- Le sol est trop humide ou bien, trop sec.
- L’herbe est trop haute (ou pas assez et du coup, « ça roule trop ».).
- Arrive en dernier recours, la balle, puis le ou les clubs, toujours plus faciles à changer que de changer soi-même 😉
Pourtant bien au-delà de la performance, n’est-ce pas aussi à cela que nous invite la pratique golfique : une forme de questionnement, de retour sur soi-même ?